6 astuces pour réussir son cake à coup sûr:

  1. Utilisez les ingrédients à température ambiante (même les œufs!).
  2. Tamisez la farine pour plus de légèreté.
  3. Respectez la température du four. De façon générale, mieux vaut laisser le cake plus longtemps à 160°C que risquer de le brûler à 200°C!
  4. Pour davantage de moelleux, remplacez 2 càs de farine par la même quantité de poudre d’amandes.
  5. Pesez scrupuleusement la quantité de levure en poudre et n’en abusez pas: sinon, le cake ne lèvera pas et aura un goût de levure trop présent.
  6. Si le moule est trop grand, le cake ne gonflera pas harmonieusement. S’il est trop petit, la pâte va déborder. Il doit idéalement être rempli aux deux tiers (avant cuisson).

Pour le plaisir

Pour le plaisir

Parce qu’il ne s’agit pas de verser dans un mode de vie triste et frustrant, pensez, à« réveiller les plaisirs ». Manger doit rester une expérience émotionnelle agréable – qui peut ponctuellement s’affranchir de toute considération « diététique »(je n’aime pas ce mot ;-). Comme Proust et sa madeleine, les plats de notre enfance réactivent ainsi les sensations heureuses du temps passé. Et tant pis pour le gras si les pommes de terre rissolées, la raclette ou encore le cornet de frites vous réconfortent mieux que quiconque en vous rappelant la douceur d’un hiver en bonne compagnie.

Michel Lejoyeux confirme, qui indique à ce titre que « ceux qui cultivent leur passé sont ceux qui investissent le plus l’instant présent ». Le tout est de rester modéré et ouvert à d’autres découvertes culinaires. L’influence positive de la nouveauté sur le cerveau s’observe non seulement sur la sexualité mais aussi un aliment inconnu, une cuisine du bout du monde font de temps à autre un bien fou grâce à la stimulation cérébrale permettant notamment l’augmentation de la dopamine – molécule de l’innovation qui booste le sentiment de plaisir.

 

Sources: Anne Claire Préfol Journaliste Santé et Psycho/ Michel Lejoyeux/Florian Ferreri est psychiatre, professeur des universités, praticien hospitalier dans le service de psychiatrie et de psychologie médicale de l’Hôpital Saint-Antoine. Il y anime une importante consultation spécialisée dans le diagnostic et la prise en charge des personnes déprimées et de leur famille