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Parce qu’il ne s’agit pas de verser dans un mode de vie triste et frustrant, pensez, à« réveiller les plaisirs ». Manger doit rester une expérience émotionnelle agréable – qui peut ponctuellement s’affranchir de toute considération « diététique »(je n’aime pas ce mot ;-). Comme Proust et sa madeleine, les plats de notre enfance réactivent ainsi les sensations heureuses du temps passé. Et tant pis pour le gras si les pommes de terre rissolées, la raclette ou encore le cornet de frites vous réconfortent mieux que quiconque en vous rappelant la douceur d’un hiver en bonne compagnie.
Michel Lejoyeux confirme, qui indique à ce titre que « ceux qui cultivent leur passé sont ceux qui investissent le plus l’instant présent ». Le tout est de rester modéré et ouvert à d’autres découvertes culinaires. L’influence positive de la nouveauté sur le cerveau s’observe non seulement sur la sexualité mais aussi un aliment inconnu, une cuisine du bout du monde font de temps à autre un bien fou grâce à la stimulation cérébrale permettant notamment l’augmentation de la dopamine – molécule de l’innovation qui booste le sentiment de plaisir.
Le gong retentit lorsque l’on doit expirer.
À faire au mieux 3 fois par jour.
https://www.youtube.com/watch?v=W__pkecVxjA